R : Les technologies fonctionnent de plusieurs façons. La
prévention des collisions, que nous jugeons la plus efficace actuellement, agit comme une paire d’yeux supplémentaire pour l’opérateur, ce qui crée ce que nous appelons une conscience situationnelle, où l’opérateur connaît l’emplacement de tous les dangers de la zone. Puis, quand un équipement s’approche à courte distance, une alarme sonore avertit l’opérateur pour qu’il ralentisse ou s’arrête. Par exemple, en contournant un angle mort, l’opérateur saura s’il y a de l’équipement caché.
Le géorepérage est un autre important outil de conscience situationnelle. Dans ce cas-ci, un opérateur peut être averti lorsqu’il traverse une zone où se trouvent des travailleurs ou de l’équipement. Par ailleurs, les zones où se trouvent les dangers pour la sécurité peuvent avoir des limites de vitesse ou un accès limité.
La technologie procure aussi des données qui aident les entreprises à apprendre des expériences précédentes et à améliorer leurs programmes de sécurité. Par exemple, vous pourriez avoir un examen hebdomadaire de sécurité pour évaluer des situations où les machines sont trop proches l’une de l’autre. S’il y a un accident ou un quasi-incident, vous pouvez repasser ce dernier sur vidéo et voir où les choses ont mal tourné. Ce n’est pas une chose à laquelle les gens veulent penser, mais la technologie aide à veiller à ce qu’un accident ne se reproduise plus.